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Galerie

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Dans l’espace clos du tableau, des corps apparaissent...
Ils occupent tout l’espace, ils se déploient, s’étirent, se déforment, se dilitent...
Le peintre est le maître de la chorégraphie un peu curieuse d’un ballet imaginaire!
Transparence des couleurs,  fluidité des traits, les personnages semblent s’animer;
les corps sont mouvants, ne font que passer, ils se croisent, s’interpénêtrent.
Il ne s’agit pas d’un instantané de la vie, mais plutôt une sorte de continuité dynamique qui
nous rappelle le grand principe de notre état de mortel: l’impermanence.
Nous sommes en perpétuel état de changement, et il en va de même du monde qui nous
entoure.
Tout bouge, tout change, se transforme, c’est ce qui fait que nous existons.
Mais ce principe nous entraîne inexorablement vers notre finitude...
Depuis notre création, nous avons commencé à mourir;
C’est le principe du grand cirque de la vie:
La seconde avant, nous avons été, au moment même nous sommes, après, nous
serons,... puis nous disparaîtrons.

 

Edited Image 2014-7-4-21:10:27
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